lundi 9 novembre 2009

Yaoundé, semaine 1

Début de mission en Afrique qui débute par un séjour de quelques jours à Paris. On ne se plaint pas. Paris en novembre est très agréable.

Cliquez sur les photos pour les agrandir. Elles sont en haute définition

Sur la place de l’Hôtel-de-Ville, une femme qui montre les jets d’eau à son enfant.

Toujours sur la place de l’Hôtel-de-Ville, des touristes qui sortent de leur car pour admirer ce chef-d’œuvre du style second empire français.

La Tour Saint-Jacques, récemment découverte de l’écrin qui la protégeait pendant les travaux de restauration qui ont duré quelques années.


Au pied de la Tour Saint-Jacques.


Toujours dans le petit parce de la Tour Saint-Jacques, au cœur de Paris, une scène automnale plutôt sympathique.


Magnifique station de métro en fonte d'acier typique de Paris. Elles ont été créées par Hector Guimard.


Quelques bouquinistes des quais de Seine ont encore le courage d’ouvrir leur échoppe à ce temps-ci de l’année. À l’arrière plan, on aperçoit les tourelles de la Conciergerie, une ancienne prison où fut entre autres emprisonnée Marie-Antoinette et ses enfants pendant la Révolution.


Les quais ont toujours un petit air romantique même en automne.


Les célèbres fontaines parisiennes.


Marchands de fleurs, rue Saint-André-des-Arts, dans le quartier Saint-Germain des Prés.


Les terrasses se vident peu à peu avant l’hiver.


Des étudiants devant la faculté de médecine.


Petit balcon de style Art nouveau, rue des Saint-Pères. En toute simplicité…


Toujours des hordes de touristes devant (et dans) le Louvre, aujourd’hui le plus grand et le plus riche musée du monde.


Toujours au Louvre.


Une partie du salon de mon petit appartement.


Du balcon de mon appartement, la place André-Malraux. À gauche au premier plan, un coin de mur de la Comédie française, accolée au Palais Royal, et à gauche en arrière plan c’est une partie de l’Aile Richelieu du Louvre où on voit des autobus qui circulent sur la rue de Rivoli.



Le faîte de mon hôtel, vu depuis la terrasse de mon appartement.


Un immense arbre de Noël planté au centre de la somptueuse agora des Galeries Lafayette.


La façade de l’Opéra de Paris, dit l’Opéra Garnier, du nom de son concepteur Charles Garnier.


Une colonne Morris sur les Champs Élysées avec les lumières de Noël.


Le bureau se trouve à deux pas des Champs. Difficile de résister à la tentation d’aller y faire une petite promenade tous les jours sur l’heure du lunch.


Des marques mythiques de Paris : le célèbre Fouquet’s et le magnifique magasin Louis Vuitton, sur les Champs Élysées, à l’angle de l’avenue George V.



On ne se lasse pas de contempler cet ouvrage admirable.



Orgie de lumière pour décorer les façades des Galeries Lafayette. Rien de trop beau pour Paris.



J’ai découvert par hasard une superbe terrasse au dernier étage d’un des édifices du grand magasin Printemps. D’ici, l’expression Paris Ville lumière prend tout son sens. Le temple au centre de la photo c’est l’église de la Madeleine, avec l’avenue Tronchet devant. Au fond à droite, le monument le plus célèbre du monde.




Nous voici maintenant au Cameroun. Léger contraste avec la photo précédente! Ici une rue de Yaoundé après la pluie. Ne me demandez pas comment le garçon peut faire tout ça sur sa tête, je n’en ai aucune idée.


Yaoundé est la capitale politique du Cameroun. La capitale économique est Douala. Le Cameroun est un pays d’Afrique sub-saharienne d’environ 15 millions d’habitants. Après l’indépendance en 1960, on a réuni les parties anglophone et francophone pour former la République fédérale du Cameroun, mais le pays est très majoritairement contrôlé par les francophones. Parmi les nombreuses communautés ethniques du pays on trouve les Bantous, les Tikars, les Peuls, etc. Depuis 1982 le pays est dirigé sans partage par le président autoproclamé Paul Biya.


Très chic salon de coiffure au centre de Yaoundé.


Une rue typique avec tous les marchands de n’importe quoi qui longent les artères.


Ciel nuageux sur Yaoundé mais dès que le soleil se pointe, le mercure atteint facilement 30 degrés même en novembre. Quand on est blanc, difficile de passer inaperçu.


Toujours beaucoup de monde dans les rues, peu importe le moment de la journée.



C’est moi, pas rasé.



Nous sommes devant la cathédrale Notre-Dame. Non, pas Notre-Dame de Paris, Notre-Dame de Yaoundé. Et avec tous les marchands du temple qui y font commerce.



Bien sûr il y a toujours des gens démunis devant tous les lieux de culte du monde.


Au Cameroun, les religions animiste, musulmane et chrétienne s’y côtoient. Nous sommes dimanche donc il y a célébration à la cathédrale, la messe est dite en français.


Vue sur la place Ahmadou-Ahidjo depuis les marches de la cathédrale.


Sous les chemises à vendre, un jeune homme qui somnole. Au Cameroun, 65% de la population a moins de 20 ans! Évidemment, le taux de mortalité infantile est très élevé et l’espérance de vie est un des plus bas du monde. L'indice de développement humain classe le Cameroun au 141e rang sur 177. Ceci explique cela.


Un petit clin d’œil.



Sur la terrasse de mon hôtel au dernier étage.


Les édifices du quartier administratif de Yaoundé vus depuis la terrasse de l’hôtel. Style très postcolonial.


La place du 20 mai. Date de l’indépendance. Le 20 mai, ça ne vous rappelle pas quelque chose? Ça aurait aussi pu être la date de l’indépendance du Québec lors du référendum de 1980…


La piscine vue depuis le toit-terrasse.


Ça c’est mon petit restaurant préféré. Le Dolce Vita.




J’adore les petits lézards.


Vive les mariés! Séance de photos sur la place du 20 mai.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Sébastien Ménard
Journal de Québec, Publié le: jeudi 16 octobre 2014

Vous vous demandez pourquoi on remet en question l’avenir des commissions scolaires ? Vous ne savez pas encore si vous irez voter aux élections scolaires ? Vous ne saviez même pas qu'il y avait des élections scolaires ? Peu importe, voici dix histoires incroyables révélées ces dernières années qui ont relancé le débat sur la pertinence de cette structure bureaucratique aujourd'hui menacée d'abolition.
7. UN COMMISSAIRE GLOBE-TROTTER

Où était donc l'élu scolaire responsable de l'école affichant le pire taux de décrochage du Québec, en 2009 ? Il était partout... sauf dans son quartier. Paul Trottier, ex-commissaire à la CS de Montréal, parlait au nom d'une école d'Hochelaga-Maisonneuve à partir de la Tunisie, du Cameroun ou de Hong Kong. Présent en chair et en os à seulement 35% des réunions du conseil, il pouvait néanmoins conserver son siège, continuer d'empocher son salaire et raconter ses aventure sur son blogue, ironiquement baptisé le «Globe-Trottier»... (http://globe-trottier.blogspot.ca/)

Anonyme a dit…

Wow, pendant que certain son avide d'argent, certaine personne ce casse la tête jour et nuit pour trouver de l'argent est envoyer leur enfant a l'école !!!! merci beaucoup... je vous laisse en sachant que 2 élevé sur 5 son au seuil de la pauvreté dans la commission scolaire de Montreal.